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amiko angeles fic chapitre lost livre
Derniers commentairessinon, bonne année 2015 !!! >whttp://nakia da.centerblog. net
Par nakiada, le 01.01.2015
c'est vrai que la vidéo fait pleurer... t^thttp://naki ada.centerblog .net
Par nakiada, le 01.01.2015
t'inquiètes, la neige est revenue !! >w<
halleluja h !http://nakiad a.centerblog.n et
Par nakiada, le 01.01.2015
a toi aussi !!!http://peac hy.centerblog. net
Par Rin, le 31.12.2014
alley je fiiiiile !
bizzz et bon reste de journée ma lina >whttp://umi-n o-hoshi.center blog.net
Par umi-no-hoshi, le 20.12.2014
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Date de création : 15.04.2012
Dernière mise à jour :
02.03.2015
425 articles
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Chapitre I
- Elle a ouvert les yeux, docteur! Elle a ouvert les yeux!, cria une voix lointaine, féminine.
Un monsieur avec des lunettes, dont l'éclat se réflétait dans la lumière, se pencha sur elle.
- Ça va aller, lui-dit il, d'une voix chaleureuse, comme un père rassurant sa fille.
Puis ce fut de nouveau le noir.
***
Angela se réveilla de nouveau. Le décor avait changé. La pièce dans laquelle elle se trouvait était blanche, vide et austère. Le silence était profond, presque insoutenable. La léthargie cottoneuse dans laquelle elle était plongée s'estompa lentement, lui redonnant vie.Angela se demandait où elle était.
Quand elle était certaine d'avoir le contrôle de ses membres, la jeune fille tourna la tête et la releva. Bien. Ils répondaient parfaitement. Doucement, Angela se mit sur le coude, enjamba la haute cloison du lit et toucha les dalles froides du plancher. Elle n'avait pas fait trois pas qu'une douleur vive lui saisit à la tête. Elle l'emprisonna de ses deux mains, s'enforçant de calmer cette atroce souffrance. Quand elle se fut un peu calmée, Angela regarda à nouveau la pièce. Quelque chose avait changé. Elle avança la main. Des éclairs bleutés lui frolaient les doigts, elle la ôta vivement. On aurait dit qu'elle est prisonière de la chambre.
La jeune fille n'avait probablement pas idée que, dans la plus grande discrétion, une caméra épiait tous ses gestes...
***
- Qu'avez donc découvert, docteur Mickel, pour sourire ainsi?
Le docteur en question pivota de sa chaise blanche. L'écran géant derrière lui montrait une scène plutôt hors de l'ordinaire: une jeune fille, aux longs cheveux argentés, prenait sa tête en étau, à genoux par terre. La pièce dans laquelle elle se trouvait était vide, à part un lit blanc à haut cloison et une porte presque invisible.
Le docteur Mickel regarda l'homme devant lui, un personnage en blouse blanche de médecin, des cheveux grisonnants sur la tempe et une fine barbe poivre et sel.
- Alors?, insista l'homme, un brin agacé par le silence de son interlocuteur.
Le docteur Mickel, nullement pressé, ajusta ses lunettes. Les vitres de ces dernières brillaient d'un éclat froid dans la pièce immaculée.
- La jeune fille semble être sensible aux rayons 508-B, docteur Jackson, répondit enfin l'homme à lunettes d'une voix glacée, moqueuse.
Le docteur Jackson ignora le sarcasme, s'enforcant de ne laisser paraître aucune émotion.
- Rien de plus?
- Que voulez vous d'autres?, soupira l'autre. Je pense vous avoir déjà rendu un fier service. À la place de garder cette information pour moi, j'ai décidé de vous la partager, comme le ferait votre fils... s'il était là.
Cette fois, le docteur Jackson grogna. Son visage se durcit imperceptiblement. Il détestait devoir parler de son fils. Quel mauvais garçon... À la place d'aider son père aux recherches, il préferait se louer une pièce d'une maison minable plutôt que de vivre dans la grande villa de son père. Certes, il était orphelin de mère, mais pourquoi a-t-il un si mauvais caractère? Le docteur Jackson chassa ces pensées de sa tête. Il préférait ne pas y penser.
- Si vous voulez bien, revenons à nos moutons, docteur Mickel.
***
- Jackson, ouvre-moi cette fichue porte!, rugit une voix d'homme, visiblement fachée.
Il fit la sourde oreille. Comme si ouvrir au propriétaire de la maison qu'on n'a pas payé depuis 4 mois était chose à faire!
- Jamais de la vie, Monsieur Kagurachi!, cria-t-il en retour.
Jackson replongea dans son bol. Décidément, le poulet était délicieux!
La pièce dans laquelle il vivait était un endroit constamment plongé dans la pénombre. Le désordre qui regnait à l'intérieur était inextricable. Ici et là, des tonnes de magazines, de piles de papiers ou de photos au 4 coin de la pièce qui jonchaient le sol jusqu'au plafond, formant des voûtes à l'équilibre fragile. Parlant de sol... Le plancher, autrefois brun doux, était devenu gris sale, avec un léger soupçon de vert vomi. De temps en temps, quelques cafares venaient saluer Jackson. Enfin, devant les rideaux tirés, tronait un appareil photo magnifique, fièrement posé. C'était impossible à manquer et, en efet, lorsque Monsieur Kagurachi entra de force dans la maison -ou porcherie- de Jackson, ce fut la première chose qu'il vit.
- Jackson!!!, hurla le vieux monsieur à lunettes.
Le jeune homme arrêta un instant de manger, éblouit par la lumière aveuglante du soleil qui entrait à flot dans la pièce.
- Mwoui?, fit-il, la bouche pleine.
- T-Tu... Arghhh! Mon dojo!, hurla monsieur Kagurachi. Mon précieux dojo!
Il enleva ses lunettes, sortit un mouchoir de sa poche et s'essuya les yeux.
- Sors de ma maison, espèce de cafard! Tout de suite! Je ne veux plus, jamais plus, tu m'entends, te revoir ici! J'ai dit, sors!
Jackson ne pû même pas placer un mot. Trois solides gaillards, bien bâtis, les muscles saillants, entrèrent dans la pièce. Le soleil, qui inondait maintenant la pièce, faisait miroter leur peau comme les feux mourants du soleil couchant. Leurs lunettes brillaient, comme pour chasser la saleté et l'obscurité de l'endroit. Cependant, leurs costumes noirs contrastaient avec autant de brillance.
Le premier gaillard pris possesion de la table basse, le deuxième empoigna solidement Jackson et le troisième, l'appareil photo. La table fut jeter dehors, Jackson suivit, mais l'appareil photo ne les rejoignit jamais; le troisième géant le fourra dans la poche de son costume.
- Eeeeh!, voleur!, hurla Jackson, scandalisé.
- Écoute, Elric Jackson, entre nous tous, c'est toi le voleur, explosa Monsieur Kagurahi. Tu m'as fait perdre 4 mois de loyer, tu m'entends? Alors que j'aurais pû le donner à ma fille Miyu, j'ai préféré le louer à toi, ingrat! Maintenant, pars!
- Euh, ok, mais avant, je pourrais aller récupéré mes vêtements?, demanda Elric, d'une voix où pointait la gêne.
En effet, Jackson ne portait rien d'autre qu'en caleçon à pois verts. Il ne cragnait pas la météo, le soleil de mai soufflait sa brise, comme une caresse. De temps en temps, un oiseau criait au loin, dans le ciel. Bref, il faisait beau. Ce qu'il cragnait, c'était les gens. Que vont-ils penser, en voyant un garçon -un homme, de sucroit!- se promener en caleçon en plein jour? Il n'osait même pas y penser!
Monsieur Kagurachi le regarda, un sourire chaleureux sur les lèvres. Il avança la main, dans un geste pour chasser une mouche.
- Mais bien sûr... que non! J'ai dis, pars!
Le visage de l'ainé se teinta de rouge, puis il hurla de rire, suivit par les trois bonhommes.
- Vieux porcs grincheux, maugéra Elric, en colère.
- C'est toi le cochon, s'offensa un des géants. Regarde l'état de ta maison. Euh, porcherie, je veux dire!
Elric émit une grimace, mais ne répondit pas. Ça ne valait pas la peine.
Il se mit à marcher à grands pas, le visage en feu. Toutefois, après quelques mètres, il reboursa chemin. Les quatres hommes étaient toujours là, à hurler de rire. Jackson fit une horrible grimace; il s'empêchait de rire, mais les voir lui donnait du mal. En effet, Monsieur Kagurachi ressemblait à un singe, en esseyant de l'imiter lorsqu'il a su qu'il ne pourrait pas avoir ses autres vêtements. Lorsque les yeux bruns foncées du vieux monsieur rencontra ceux bleux perçants de Elric, il fit un saut digne d'un althlète olympique. Kagurachi se ressaisit cependant rapidement.
- Que veux-tu donc maintenant?, voulut-il savoir.
Elric ne répondit pas. Il s'avança d'une démarche résolue vers son ancienne maison (ou porcherie, au choix), se pencha et ramassa deux choses; la première, il la fourra rapidement dans la poche de son calecon et la seconde, il la garda dans sa paume.
- Eh! Relâche ça! Rien ne t'appartiens, désormais! Tout est de nouveau à moi, grommela le monsieur à lunettes.
Elric s'avança en direction que celui qui avait parlé, les yeux lançants des éclairs. Il ignora les trois gaillards postés derrière le propriétaire de la maison. Arrivé nez à nez avec Monsieur Kagurachi, il ouvrit la paume, laissant découvrir un gros cafard marron foncé.
- Même ça?, railla Elric.
Jackson partit d'un grand rire, tandis que Monsieur Kagurachi poussait des cris de cochon sétranglé, prouvant donc qu'il en est bien un.
***
- D'accord. On revient s'occuper de nos moutons, docteur en chef.
Le docteur Mickel se leva de sa chaise tournante et s'étira. Longuement. Il se retourna. Le docteur Jackson put voir son sourire sadique. Mickel était haut, beaucoup plus qu'il n'en a l'air. Ses yeux bleus, cachés par ses lunettes, glaçaient quiconque ayant le courage de plonger dans son regard. Son crâne, rasé avec soin, luisait à la lumière artificielle. Tout en lui inspirait le respect, voire la crainte. Il plongea les mains dans la poche de sa blouse blanche.
- Je vais vous dire une chose, puisque vous semblez avide de découvrir les origines de cette jeune fille (il s'approcha du docteur Jackson). Elle... n'est pas humaine.
Voilà! J'espère que vous avez bien appréciez ce premier chapitre :D
Cependant moi, je ne suis pas très fière. Le premier essaie était plus réussit que celle-ci, qui est trop... détaillée, en quelque sorte. Mais enfin :D
Ah pas mal, ça commence bien. Ton style a bien changé, on voit que tu lis !Fait juste gaffe à employer les bons mots dans les bonnes situations.
Sinon, c'est très bien !
http://umi-no-hoshi.centerblog.net
Par contre, le Mickel et Jackson...Mickael Jackson, c'est ça? XD
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